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Macchiato glacé caramel amande

Macchiato caramel amande

Voici une recette saine et gourmande à sortir aux copains copines cet été.

Il s’agit d’une recette sur base de cold brew, café infusé à froid, une méthode douce et très agréable pour déguster autrement son café.

La préparation du cold brew est simple à réaliser à la maison et ne demande pas obligatoirement de matériel spécifique (voir ma recette ici). Mais je propose également du Cold brew en bouteille, prêt à consommer. Si vous réalisez votre propre infusion à froid, il faudra s’y prendre à l’avance car le cold brew tire toute sa douceur et sa finesse aromatique d’une lente infusion de 12h à 20h au réfrigérateur. Le temps et la basse température, voila le secret de ce café doux et parfumé, sans amertume et sans acidité.

Le cold brew c’est bon, c’est tendance, mais ce n’est pas assez généreux pour vous? Alors voici de quoi pimenter la sauce pour obtenir une latte glacé sain et super gourmand.

Matériel: 1 grand verre ou 1 pot mason,

Ingrédients: 100ml de café cold brew, plein de glaçons, 50ml de lait d’amande (ou de lait de coco, c’est bon aussi), 25ml de sirop de caramel au beurre salé (avec du sirop d’érable c’est très bien aussi).

Pour 1 grand verre

Recette latte gourmand

  1. Remplir le verre au 3/4 de glaçons
  2. Y verser le café
  3. Compléter avec le lait d’amende ou de coco
  4. Terminer par une coulée de sirop de caramel
  5. Mélanger et déguster !

Adapté d’une version « paléo » vue sur wickedspatula.com.

 

 

 

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Cold Brew (sans matériel)

Cold brew

Il existe plusieurs méthodes pour réaliser un cold brew, ce café longuement infusé à froid, tout en finesse, sans amertume et sans acidité, au profil aromatique doux et parfumé.

Les cafetières spécialisées, de capacités très variables, permettent d’optimiser le processus d’infusion à froid. Les plus remarquables sont les tours goutte à goutte, mélange entre labo de chimie et œuvres d’art comme ce « Kyoto cold dripper » du Left Hand Coffee dans l’état de New York.

Rassurez-vous, pas besoin de voler une sculpture dans un musée de Tokyo pour réaliser un cold brew à la maison. Une simple cafetière à piston ou même une carafe d’eau et un filtre en papier feront l’affaire, il faudra simplement utiliser un peu plus de café moulu.

Pour 1L d’eau, prévoir environ 100g de café mouture moyenne (type filtre/italienne) si vous réalisez la recette avec une carafe et filtre papier, ou 125g de café mouture grossière si vous utilisez une cafetière à piston.

  1. Mettre le café moulu au fond du récipient, ajouter l’eau et bien mélanger.
  2. Couvrir le récipient et laisser infuser 12h à 18h au réfrigérateur.
  3. Filtrer la mixture un filtre à papier ou en actionnant le piston et verser la boisson filtrée dans une bouteille hermétique.
  4. Il est possible d’aromatiser votre cold brew avec un peu de vanille, une cuillère à café de sucre brun ou un trait de sirop d’érable.
  5. Servir dans un grand verre rempli de glaçons.

La quantité exacte de café et la durée précise d’infusion sont à régler en fonction de la puissance du café utilisé et de l’intensité souhaitée de la boisson.
Bien filtré et bien fermé, le cold brew peut se conserver environ une semaine au réfrigérateur.

« Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage ».

 

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Smoothie Café Banane Coco

Après ce fabuleux weekend nous voici déjà l’été en tête, tongs aux pieds et crème solaire étalée… il ne nous manque plus qu’un petit smoothie tendance bien rafraîchissant à siroter!

Voici donc une recette aux senteurs d’Afrique qui saura vous faire voyager et vous détendre tout en vous gardant éveillés. C’est aussi la boisson à proposer à vos invités s’il est encore un peu tôt dans la matinée pour le Pastis.

Pour 2 smoothies :

Matériel: 2 grands verres et un blender

Ingrédients: 10 cl de lait de coco, 4 expressi (soit 12 cl environ – préférez un café africain doux et parfumé comme le Moka Sidamo ou le Tanzanie Kilimanjaro par exemple), 1 cuillère à soupe de sucre de canne, 1 banane et une dizaine de glaçons.

  1. Couler les expressi et laisser refroidir quelques minutes.
  2. Mettre tous les ingrédients dans le blender sauf les glaçons, et mixer pendant 30 secondes.
  3. Si votre blender le supporte ajouter les glaçon et mixer 15 secondes de plus, sinon répartir les glaçons dans les verres
  4. Verser dans les deux grands verres et servir avec une paille.

Ne pas utiliser un café trop fort car le goût du café ne doit pas prédominer.

 

 

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Café latte canadien (au sirop d’érable !)

Voici une recette des plus sympathiques, le café latte dit « canadien » au sirop d’érable.

Matériel: Une grande tasse (ou un pot en verre style « Mason »), une buse vapeur (ou un mousseur à lait), un pichet à lait et une machine expresso ou Nespresso.
Ingrédients: 1 double expresso, 80ml de lait demi-écrémé, 20ml de sirop d’érable, une pincée de cardamone moulue, 1 mini pincée de muscade moulue et un peu sucre d’érable ou cacao pour la déco.

  1. Préparer le sirop d’érable et les épices au fond de la tasse.
  2. Couler le double expresso par dessus.
  3. Faire mousser le lait dans un pichet à lait (attention de ne pas chauffer au dessus de 80° au risque de cuire le lait).
  4. Verser d’abord le lait liquide dans la tasse, puis garnir de mousse de lait.
  5. Saupoudrer de sucre d’érable ou de cacao en poudre.

Personnellement j’ai réalisé mon latte canadien avec du Moka Sidamo, humm ! Épicé, plutôt surprenant et super bon!

 

 

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Crème brûlée au café

Voici encore une recette simple et rapide, mais avec une touche d’originalité en variante café.

Matériel: 1 casserole, 1 tamis ou autre filtre, des tasses à café ou des ramequins, éventuellement 1 chalumeau de cuisine.
Ingrédients: 250ml de lait, 250ml de crème fraîche, 4 oeufs, 20g de café moulu, 30g de sucre, un peu de cassonade, et des grains de café en chocolat ou des écorces d’oranges confites pour la déco.

  1. Mélanger le lait et la crème fraîche dans la casserole et porter à ébullition.
  2. Sortir du feu et ajouter le café en poudre. Laisser infuser 10 minutes à couvert puis passer au tamis.
  3. Pendant ce temps, préchauffer le four à 160°C, et battre les œufs et le sucre dans un grand bol jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
  4. Ajouter l’infusion de café et bien mélanger, puis répartir dans les tasses/ramequins.
  5. Enfourner 35-40 minutes environ, puis laisser refroidir et placer une heure au réfrigérateur.
  6. Avant de servir saupoudrer de cassonade et caraméliser (5 minutes sous le grill ou au chalumeau).
  7. Décorer avec les grains de café en chocolat ou les écorces d’oranges confites.
Parfait comme petit dessert « vite fait bien fait » du dimanche soir.
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Sirop de café

Cette semaine nous allons voir une base qui nous permettra de réaliser des petites gourmandises comme de délicieux lattes (chauds et froids).

(Pour 0,6L environ)
Matériel: Une casserole, une passoire, une grande bouteille en verre (ou plusieurs petites)
Ingrédients: 500ml d’eau, 500g de sucre, 250g de grain de café (Brésil, mélange Expresso ou Moka Sidamo par exemple)

  1. Mélanger les ingrédients dans une casserole (laisser le café en grain).
  2. Porter à ébullition tout en remuant, et laisser bouillonner à feu doux 15 minutes environ.
  3. Sortir la casserole du feu, et laisser macérer la préparation à couvert pendant  24h.
  4. Porter à nouveau le sirop à ébullition, puis filtrer et verser bouillant à raz bord dans la/les bouteille(s) propre(s) et chaude(s).
  5. Fermer aussitôt et laisser refroidir.

Le sirop se conserve 6 mois au frais à l’abris de la lumière, mais consommer rapidement et conserver au frigo après ouverture.
Servir en boisson avec de l’eau ou du lait (délicieux avec du lait et des glaçon au shaker), ou nappez vos glaces à la vanille.

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Torréfaction, l’art de développer l’arôme

Principe de torréfaction

La torréfaction (du latin « torrefacere », « faire sécher ») est l’action de chauffer, de cuire, de griller dans le but transformer la fève de café verte, sans arôme, en fève de café brune torréfiée, alors composée de plus de 800 molécules aromatiques. Le même procédé est également utilisé pour d’autres céréales (fabrication de la bière ou du whisky), et pour le cacao.

Comme nous l’avons vu précédemment, parmi les facteurs qui influencent le profil gustatif d’un café on notera:

  • L’origine et la variété du grain vert. Le grain vert n’a pas d’arôme, mais contient plus de 2500 molécules organiques différentes, comme les précurseurs d’arômes, qui confèrent au café son potentiel organoleptique
  • La méthode d’extraction du grain depuis la cerise (communément appelé traitement)
  • Le processus de torréfaction, qui va plus ou moins développer les arômes
  • Et l’extraction, soit la préparation de la boisson.

La torréfaction est l’étape la plus importante. En produisant une séquence de réactions chimiques successives elle doit sublimer les goûts et développer les arômes (acidité, amertume, corps, notes aromatiques, longueur en bouche…).

Fonctionnement du torréfacteur artisanal traditionnel.

A chaque broche (fournée de café) les grains vont successivement passer par 3 parties du torréfacteur (du haut vers le bas):
La trémie, c’est l’entonnoir où sont stockés temporairement les grains en attendant que le torréfacteur monte en température.
Le tambour, comme dans une machine à laver, c’est un cylindre chaud en perpétuelle rotation dans lequel va s’opérer toute la magie durant 20 à 25 minutes (pour mon appareil).
Le brasseur, grand bac avec des pâles en rotation dont le but est de refroidir le grain pour stopper rapidement la cuisson.

Transformations physiques et chimiques du grain pendant la torréfaction:

  1. 0min – 180°C à 220°C – Introduction des grains verts dans le tambour, la température chute instantanément.
  2. 10min à 15min – 120°C environ – Phase endothermique de déshydratation. Les grains absorbent la chaleur et sèchent progressivement. La couleur verte s’estompe petit à petit pour tirer sur le jaune.

  3. 15min à 18min – 140°C – Premier crack. Modification de la structure du grain caractérisée par le gonflement des fèves sous la pression de la vapeur d’eau qui s’en échappe. Craquement des grains et ouverture du sillon (comme pour le pop-corn).
  4. 18min à 20min – 150°C – Phase exothermique, la chaleur ressort du grain, la température remonte rapidement.
    Réaction de Maillard, correspondant à diverses transformations chimiques de dégradation et de polymérisation des précurseurs d’arômes. Les grains commencent à brunir et les arômes se développent.
  5. 20min à 25min – 180°C – Dégradation de Strecker, les acides aminés sont dégradés en composés aldéhydes, la coloration brune s’accentue, la température s’emballe et le torréfacteur fume.
  6. 25min à 30min – 220°C – Deuxième crack. Phase de carbonisation, la coloration se rapproche désormais du noir, et les huiles de café (cafeol notamment) sortent des grains qui deviennent luisants. Fumée épaisse.
  7. + de 30min – 250°C – Incendie déclaré !

La phase critique est la fin du processus, lorsque les différentes transformations chimiques se succèdent rapidement et que la couleur passe du brun clair au brun foncé. Il faut être réactif et très précis pour sortir le grain du tambour au bon moment suivant le résultat recherché. Les arômes et le goût se forment surtout pendant la phase terminale.

Pendant la torréfaction le grain double de volume et perd 13% (torréfaction claire) à 20% (torréfaction foncée) de son poids.

Les industriels utilisent un appareil très différent, qui aspire le grain en continu dans un courant d’air à 700°C permettant de torréfier le café en moins de 4 minutes. Ce système ne permet toutefois pas de développer pleinement les arômes du café, et laisse plus d’eau dans le grain (donc moins de perte de poids).

Clair ou foncé? Une histoire de goût

Torréfaction claire
La torréfaction claire (light roast) est obtenue en stoppant la cuisson pendant ou juste après le premier crack. Elle est caractérisée par une douce acidité, l’absence d’amertume, et des arômes floraux et fruités. Les différences de goût entre les différents cafés est marquée.

Torréfaction foncée
A l’inverse, une torréfaction foncée sera obtenue en poussant la cuisson bien après le premier crack, juste avant le deuxième crack voire même après.
Très torréfiés, tous les cafés se ressemblent, avec une nette prédominance des notes brunes comme le caramel, le cacao ou le sucre brun. Le café est alors plus fort, présente une plus grande amertume et un goût « grillé ».

Historiquement tout autour de la méditerranée, on note une nette préférence culturelle pour les cafés torréfiés foncés. Les torréfactions claires sont généralement plus appréciés dans les pays d’Europe du Nord et sur le continent Nord Américain.
Toutefois, aujourd’hui la culture café n’est plus une affaire locale. Les modes de consommation du café connaissent de grands changement, ce qui amène une modification des référentiels de goût.

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Botanique, agriculture et terroir

Botanique, agriculture et terroir

Ces quelques lignes sur la botanique et la culture du café vont permettre aux plus curieux d’affiner leur culture café, et de mieux comprendre les variables de la qualité dans le café.
Le café vert est la graine issue de la cerise de café, le fruit du caféier, un arbuste originaire d’Afrique de l’espèce Coffea dans la famille des Rubiacées.

Deux principales espèces botaniques de café sont cultivées dans le monde, dans les zones tropicales d’Amérique, d’Afrique et d’Asie: le café d’arabie (coffea arabica) et le robusta (coffea canephora).
Cultivé dans les plaines, le robusta est un arbuste de grande taille, résistant et facile à entretenir. Moins cher, plus amer, et généralement moins fin que l’arabica, il présente un taux élevé de caféine.
L’Arabica est un petit arbuste cultivé en altitude. Plus délicat à maintenir, il est fragile et sensible aux problématiques climatiques, aux maladies et aux parasites.

Le rendu en tasse d’un café est la résultante d’une multitude de paramètres que l’on peut regrouper en trois grandes catégories représentées par trois métiers complémentaires.
La botanique et l’agriculture, c’est le dur labeur des producteurs de café vert.
La torréfaction qui doit révéler le potentiel du grain vert.

L’extraction qui consiste à exploiter les grains de café torréfiés pour porter ses arômes jusqu’au palais du consommateur.  C’est le métier de barista.

Botanique, agriculture et terroir.
L’arabica est sujet à de fréquentes mutations génétiques favorisant l’apparition de nouvelles variétés. Si aujourd’hui certaines des variétés historiques d’arabica ont disparues, il existe toujours quelques plants endémiques (historiques), mais la plupart des variétés actuellement cultivées sont issues de mutations naturelles, obtenues par sélections végétales ou encore par hybridations génétiques.

 

Les caractéristiques intrinsèques du grain vert, selon sa variété mais aussi sa densité (qui dépend beaucoup de l’altitude de culture, c’est la fameuse appellation S.H.B) expliquent en partie la qualité aromatique d’un café.


Comme pour le vin, le terroir, caractérisé par les conditions climatiques et la composition chimique des sols, a également une forte influence sur la qualité et le potentiel organoleptique du grain. C’est la raison pour laquelle le pays d’origine est l’information principale donnée au consommateur pour choisir son café, une AOC du café en quelque sorte.

Parmi les autres facteurs qui influencent les qualités gustatives du grain de café, on retrouve le soin porté à la culture et à la récolte, le tri, le stockage, ainsi que la méthode d’extraction des grains depuis la cerise (il y a deux grains par cerise).

La méthode d’extraction des grains à une influence significative sur le profil gustatif du café.

La méthode classique, la voie sèche
Les cerises de café sont lavées et triées, puis étalées sur de grandes surfaces et séchées pendant 2 semaines au soleil. Une fois secs, les grains sont décortiqués avant stockage.

La méthode douce, la voie humide
Les cerises sont lavées dans l’eau, puis partiellement dépulpées avec délicatesse. Les fèves extraites sont ensuite fermentées dans l’eau durant 24 à 36h. La fermentation est une étape très sensible faisant intervenir une réaction enzymatique permettant d’augmenter l’acidité et de rehausser les notes fruitées. Pour stopper le processus de fermentation, les grains sont à nouveau lavés, séchés au soleil puis stockés.

La méthode atypique, les fèves digérées
Moins répandue et plutôt bizarre, cette méthode consiste à faire digérer les cerises de café par différents animaux (civettes asiatiques en Indonésie, éléphants en Inde ou oiseaux au Brésil). Les fèves sont ensuite récupérées dans les excréments, merde alors ! C’est encore un processus enzymatique complexe dans le ventre de l’animal qui confère un goût particulier au café. Ces cafés sont très rares, prisés de certains amateurs, et sont de loin les cafés les plus chers au monde !

 

J’espère que ces éléments botaniques vous auront éveillé votre curiosité.
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Coco White Russian

Voici un petit cocktail très sympa à base de café (enfin de liqueur de café) qui fera un malheur ce soir pour la St Sylvestre après 2 coupettes de champagne! En plus il est vegan compatible 😉

Matériel: Un verre « old fashion »

Ingrédients: 4cl de Vodka, 4cl de liqueur de café (type Kahlua ou maison selon ma petite recette ici), 5cl de lait de coco

  1. Réalisez la recette directement dans le verre (très froid de préférence)
  2. Versez la liqueur de café sur un lit de glaçons
  3. Ajouter le lait de coco
  4. Puis la vodka
  5. Servir avec un bâtonnet mélangeur
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Dessert Canaille

Dessert Café Canaille

Aujourd’hui on change un peu nos habitudes car cette recette n’est pas à base de café… Toutefois ce dessert gourmand accompagnera à merveille votre petit café de fin de repas.
Le dessert Canaille est une recette gentiment offerte par l’équipe du Café Canaille à Venelles, une adresse très sympa que je vous recommande si vous ne connaissez pas encore.

Matériel: Rien, sinon un siphon pour la chantilly (ou une bombe).

Ingrédients: (pour 4 parts) Deux bananes, un cookie en brisure, du Nutella, de la crème Chantilly, du topping caramel au beurre salé, 20g de noisettes concassées et du (bon) cacao en poudre.

  1. Dans quatre bols insérer une cuillère à soupe de brisure de cookies, puis une demi banane coupée en rondelles.
  2. Ajouter une belle cuillère à soupe de Nutella, puis garnir de crème chantilly.
  3. Strier avec le coulis de caramel au beurre salé, agrémenter de noisettes concassées, et finir la déco en saupoudrant de cacao.

Un dessert simple, mais très efficace!
Bonne dégustation.